Détroit d'Ormuz : pourquoi le pétrole et le GNL ne réagissent-ils pas au risque de fermeture ?

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À la grande surprise des observateurs du marché, le transport maritime de gaz et de pétrole est resté étanche à l’escalade des frictions au Moyen-Orient alors que le détroit d'Ormuz est un passage maritime clé et qu'il n'existe pas d'itinéraire alternatif. Selon les estimations, toute escalade conduisant à la fermeture du détroit d'Ormuz pourrait impacter 30 % du pétrole, 20 % du GNL et 40 % du GPL.
Les échanges musclés entre l’Iran et Israël n'ont pas encore effrayé le transport maritime de GNL et de pétrole alors que le détroit d'Ormuz est le passage maritime clé pour les exportations énergétiques et une impasse dans la mesure où il n'existe pas d'itinéraire de délestage... Selon les estimations, toute escalade conduisant à la fermeture du détroit d'Ormuz pourrait impacter 30 % du pétrole, 20 % du GNL et 40 % du GPL.

Un peu plus de 20 millions de barils par jour de pétrole y transitent en provenance de tout le gollfe…
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